Paris en Fujifilm X10
Heureux possesseur du nouveau Fujifilm Finepix X10, je l'ai vite essayé dans Paris, sur mes sites préférés. L'un de mes correspondants, qui a bien voulu laisser un aimable commentaire sur mon sujet "Ce qui n'a pas été dit sur le X10", a fait lui aussi l'acquisition de l'appareil, et il tient un blog où il proclame : "Assez de blabla, des photos". Il a parfaitement raison.
Une meilleure définition, par clics, est disponible sur flickr (tous droits réservés).
Dans la série sur la Tour Eiffel et le Trocadéro, cela ouvre sur des photos
mises en ligne avant tout effet de post-traitement.
Batignolles et Montmartre. Peinture et musique.
Place de Clichy, boulevard des Batignolles.
Boulevard de Rochechouart. Le Moulin Rouge.
Montmartre. Le campanile du Sacré-Cœur.
Paris, depuis le parvis du Sacré-Cœur.
Montmartre. La place du Tertre, envahie par les peintres, pas tous authentiques.
Montmartre. L'orgue de Barbarie.
Montmartre. Les escaliers de la Butte ne sont durs qu'aux miséreux.
Montmartre. Essai de HDR avec le logiciel Oloneo.
Le Fuji X10 propose un bracketing en trois vues très perfectionné, puisque possible
non seulement sur l'exposition mais aussi sur la sensibilité. Mais les écarts ne sont
que d'un IL de part et d'autre, ce qui est insuffisant. On doit pouvoir faire mieux...
Le globe de la place de Clichy.
Gare Saint-Lazare au crépuscule.
Boulevard Haussmann. Beaucoup de Jpeg, dans ces premières séries, mais cette photo
a été prise en RAW et dématricée (pas trop mal) avec le logiciel exclusif fourni par Fuji.
Tour Eiffel et Trocadéro : les marchands du temple.
Les quelques fidèles de mon blog doivent connaître mon site parisien préféré...
Ce lieu très touristique fait vivre, naturellement, une myriade de petits commerces,
plus ou moins légaux. Certaines photos n'ont subi ici, comme les précédentes,
que de légers ajustements de gamme dynamique. La nuit tombant, les conditions
de prise de vue deviennent de plus en plus difficiles pour le X10...
Les vendeurs à la sauvette ne sont que de pauvres bougres, exploités par des trafiquants
qui, eux, roulent en Mercedes... Cet été encore, ils étaient des nuées à proposer
leur bimbeloterie aux touristes. Mais les marchands payant patente se sont émus
de cette concurrence déloyale, ce qui a provoqué une mobilisation policière musclée.
Aujourd'hui, ce commerce n'a pas disparu, mais il s'est fait discret et il est aux aguets.
Ce sac, étalé sur le bitume, se transforme en éventaire. Dès qu'un uniforme apparaît,
l'éventaire redevient un sac innocent, commode pour changer de trottoir.
Les plus hardis n'hésitent pas à défier directement la boutique officielle.
Evidemment, le plus gros marchand du temple est la Ville de Paris,
propriétaire de la Tour Eiffel.
Cliquer sur la bannière ou le bouton "haut de page" pour voir l'ensemble
des photos prises à Paris avec le Fuji X10
et ICI pour mon article sur mes premiers tests de l'appareil.